L’endométriose, ce labyrinthe complexe qui tisse ses détours silencieux dans le corps féminin, est une réalité souvent incomprise mais très douloureuse pour de nombreuses femmes en Suisse et dans le monde. En tant que thérapeute centrée sur la santé et le bien-être physique, émotionnel et mental, avec une vision MIND-CORPS, à partir de la médecine naturelle, du biomagnétisme médical, de la magnétothérapie et de toutes les techniques thérapeutiques auxquelles j’ai été formée, ainsi que les neurosciences. J’ai mis l’accent sur les maladies inflammatoires, parfois qualifiées d’incurables. Grâce à mes expériences et à mes découvertes, j’ai voulu entreprendre un voyage au cœur de cette maladie, en explorant les subtilités de son impact, sa prévalence en Suisse et la recherche existentielle de quelqu’un ou de quelque chose qui puisse aider à la freiner. Quelqu’un qui comprend la maladie d’un point de vue plus ample, avec une réponse positive, une touche d’espoir dans la complexité de ce labyrinthe souvent typé et sans issue.
Qu’est-ce que l’endométriose ?
L’endométriose est une maladie gynécologique chronique qui survient lorsque le tissu qui tapisse l’utérus, appelé endomètre, se développe en dehors de l’utérus. Ce labyrinthe de tissus anormaux, en dehors des limites de l’utérus, peut envahir d’autres organes pelviens tels que les ovaires, les trompes de Fallope, et s’étendre à la vessie ou à d’autres espaces de la cavité abdominale. L’endomètre se comporte comme à l’intérieur de l’utérus : il s’épaissit, se rompt et saigne pendant le cycle menstruel. Cependant, comme ce tissu se trouve à l’extérieur de l’utérus, il n’a aucun moyen de quitter le corps, ce qui peut entraîner des douleurs, des inflammations, des adhérences et des kystes. Ce labyrinthe de tissus anormaux, en dehors des limites de l’utérus, constitue une énigme médicale complexe.
Comprendre ses subtilités nécessite une exploration en profondeur, une cartographie de la douleur et des ramifications qui, bien que souvent invisibles, laissent une marque indélébile sur les femmes qui en souffrent.
Les coins sombres de la prévalence de l’endométriose en Suisse
L’endométriose touche principalement les femmes en âge de procréer, généralement entre 15 et 49 ans, mais elle peut se manifester dès les premières règles jusqu’à la ménopause, bien que dans des cas plus rares, elle puisse survivre au-delà de cette tranche d’âge. Les causes exactes de l’endométriose ne sont pas entièrement comprises, mais plusieurs facteurs peuvent être impliqués, tels qu’une prédisposition génétique, des facteurs hormonaux et immunitaires.
Selon les statistiques suisses, la prévalence de l’endométriose chez les femmes en âge de procréer se situe entre 10 et 15 %. Cependant, derrière ces chiffres se cachent des histoires de douleurs souvent mal comprises et des parcours de traitement difficiles.
La variabilité des chiffres de prévalence met en évidence la complexité de l’endométriose. Différentes études et enquêtes utilisent des critères de diagnostic différents, ce qui contribue à une estimation qui peut parfois sous-estimer l’étendue réelle de la maladie. La collecte de données sur la prévalence de l’endométriose en Suisse pose de nombreux problèmes méthodologiques. Les variations des critères de diagnostic, les différences entre régions et la stigmatisation de la maladie peuvent influencer la manière dont les femmes déclarent ou non leurs symptômes.
Comment se déroule la vie d’une femme souffrant d’endométriose ?
L’endométriose, ce labyrinthe complexe qui se développe dans le corps féminin, impose non seulement des défis médicaux, mais aussi un fardeau considérable dans la vie quotidienne des femmes qui en souffrent. Dans ma collecte d’informations, j’ai interrogé de nombreuses femmes, explorant les différents aspects de leur vie, qui mettent en évidence les sombres hantises de la douleur physique, avec de graves implications professionnelles et un impact psychologique qui s’étend bien au-delà du domaine médical. Les symptômes de l’endométriose varient d’une personne à l’autre :
- Douleur chronique. L’angle le plus aigu du labyrinthe de l’endométriose est pavé d’une douleur intense qui devient un compagnon constant dans la vie d’une femme me dit Anne.
- Les menstruations, qui sont normalement un processus naturel, deviennent des périodes de souffrance intense, précise Alice, elle est infirmière.
- Les crampes qui accompagnent l’endométriose peuvent être si intenses qu’elles limitent les activités quotidiennes, entraînant une incapacité à fonctionner normalement dans différents domaines, à l’université, au travail, dans les relations, dans la vie elle-même. Confirment toutes.
- Les douleurs ne se limitent pas aux périodes menstruelles, c’est ce que me disent toutes les personnes que j’ai interviewées.
- Les adhérences et les lésions causées par l’endométriose peuvent provoquer des douleurs pelviennes chroniques, créant une expérience où le simple fait de bouger peut-être douloureux et limitant m’a dit Sarah, enseignât en une école d’enfants.
- La gestion de cette douleur devient un défi quotidien, nécessitant souvent une combinaison complexe d’analgésiques (avec des effets secondaires), ainsi que des stratégies de gestion de la douleur qui, lorsqu’elles sont pratiquées sur une base mensuelle, sapent l’énergie dont Sandrine a besoin pour maintenir son poste de responsabilité dans une entreprise importante. En plus de tout, elle souffre d’une gastrite aiguë.
Comme on le voit, les répercussions de l’endométriose ont un impact important sur la vie professionnelle. Pour une femme qui travaille, concilier les exigences du travail devient un exercice d’équilibre délicat.
- Les absences fréquentes dues à la douleur et aux rendez-vous médicaux peuvent poser des problèmes professionnels et parfois compromettre les possibilités de promotion ou de perte d’emploi.
- La carrière d’une femme atteinte d’endométriose peut être semée d`obstacles. La société, qui ignore parfois les implications de la maladie, n’offre pas toujours le soutien nécessaire.
- Les femmes peuvent se sentir obligées de camoufler ou cacher leur douleur, par peur des préjugés ou du jugement des professionnels.
Délai, diagnostic et traitement
Le délai moyen entre l’apparition des premiers symptômes et le diagnostic de l’endométriose est souvent long. Les femmes endurent des années de souffrance avant d’obtenir une réponse médicale claire, ce qui aggrave les problèmes physiques et émotionnels.

Un diagnostic tardif peut entraîner de graves complications, telles que des adhérences, des kystes, et même des problèmes de fertilité. La prévention de ces complications passe par un traitement précoce et éclairé. La souffrance physique constante et le manque de compréhension ont déjà un impact psychologique important, car l’anxiété, la dépression et le stress sont souvent les compagnons constants des femmes atteintes d’endométriose.
Cependant, la seule alternative proposée pour traiter l’endométriose, en fonction de la gravité des symptômes et des objectifs de la patiente, est la médication : Des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), des contraceptifs hormonaux et parfois des agonistes de la GnRH peuvent être prescrits pour soulager la douleur, réguler le cycle menstruel et réduire la croissance de l’endomètre à l’extérieur de l’utérus. L’alternative la plus fréquente est la chirurgie.
La chirurgie laparoscopique est souvent utilisée pour diagnostiquer l’endométriose et retirer l’excès de tissu endométrial, mais j’ai rencontré plusieurs femmes qui ont subi plus de deux opérations parce que la maladie persiste. Après un certain temps, les symptômes réapparaissent et le labyrinthe de tissu anormal à l’extérieur de l’utérus repousse.
L’interaction entre la médecine de base et la médecine complémentaire dans le traitement de l’endométriose peut être un équilibre nécessaire.
Lorsqu’il s’agit d’endométriose, une maladie complexe et souvent débilitante, la recherche d’un traitement conduit de nombreuses femmes à explorer diverses options thérapeutiques. L’interaction entre la médecine de base, représentée par les approches médicales conventionnelles, et la médecine complémentaire, caractérisée par des approches alternatives plus holistiques, apparaît comme un équilibre nécessaire pour fournir des soins complets et personnalisés. En explorant comment ces deux domaines de la médecine, agréés et appréciés en SUISSE, peuvent coexister harmonieusement, nous pouvons mieux comprendre comment optimiser les soins pour les personnes confrontées à l’énigmatique labyrinthe de l’endométriose.
Traitement alternatif ? Intégratif ?
À la recherche d’approches alternatives pour le traitement de la douleur, j’ai été contacté par ma première patiente souffrant de cette maladie. Cette étudiante universitaire, qui devait passer ses examens de fin d’année, est venue me voir en raison d’une profonde dépression, d’insomnies et de douleurs intenses se propageant dans tout l’abdomen. Lorsque je lui ai demandé si ces douleurs étaient dues à son alimentation, à des difficultés de transit intestinal ou à des crampes menstruelles, Elle m’a répondu que son diagnostic était d’ENDOMÉTRIOSE et qu’elle devait être opérée dans deux mois, le temps que je puisse la traiter.
Je me souviens de cette première expérience avec une certaine joie, car à l’époque je n’avais pas l’expérience que j’ai aujourd’hui avec cette maladie, et je me suis laissé guider par la réponse kinésiologique de son corps, ce qui a eu pour résultat qu’elle s’est sentie mieux semaine après semaine.
Elle a pu passer ses examens sans problème et a également pu se présenter à l’hôpital à la date indiquée pour l’intervention chirurgicale. Lorsqu’elle a exprimé qu’elle se sentait beaucoup mieux et que la douleur avait disparu, grâce à une thérapie naturelle qu’elle avait suivie. Avant de procéder aux incisions, avec le professionnalisme qui prévaut au sein du personnel médical, elle a été soumise à de nouveaux examens, à des échographies et ainsi de suite, au milieu de la confusion créée, parce que tout était en ordre, elle a été informée que la chirurgie n’était pas nécessaire, parce qu’«elle n’avait jamais eu l’endométriose ».
Avec elle et les patientes suivantes que j’ai traitées, j’ai pu observer et comprendre que la prise en charge de l’endométriose doit être holistique. Traiter le MENTAL, le CORPS, l’ESPRIT et les ÉMOTIONS. Un nouveau paradigme, une nouvelle approche dans la façon de voir la vie, de comprendre la maladie et de la traiter.
Au cours de mon expérience professionnelle en tant que thérapeute en médecine intégrative et complémentaire, j’ai traité et continue de traiter des femmes atteintes de cette maladie, en cohérence avec cette vision holistique MIND-CORPS. En utilisant les apports de la Magnétothérapie, l’utilisation des champs magnétiques pour soulager la douleur et l’inflammation. En alternance avec la merveilleuse technique du biomagnétisme médical, qui permet d’approfondir les subtilités de l’énergie, du magnétisme et de l’électricité qui composent notre corps en utilisant des paires de charges magnétiques positives et négatives de différentes forces équivalentes, pour équilibrer les champs altérés, normaliser le pH du corps, retrouver l’équilibre neutre du «terrain biologique» altéré, créer un environnement moins propice au développement des germes, des micro-organismes pathogènes qui provoquent des altérations qui se manifestent par divers problèmes de santé.
J’intègre également des techniques de respiration consciente, des pratiques destinées à réduire les blocages, les émotions somatisées dans le corps, et améliorer le sommeil. La gestion du stress par des techniques de programmation neurolinguistique (PNL), l’exercice physique et le contact avec la nature sont essentiels. Et important dans la vie, l’incorporation d’espaces de pleine conscience (Mindfulness) pour l’équilibre mental et émotionnel. Tout est adapté à chaque cas, en traitant chacune de mes patientes comme l’être unique qu’elle est.
Le résultat après un traitement est presque toujours : « Vous n’avez jamais eu d’endométriose ».… Et dans d’autres cas : « Rémission spontanée de la maladie ».
Je suis Maria CARDENAS BÄNNINGER thérapeute, suisse-péruvienne. Mon travail thérapeutique est centré sur la santé et le bien-être physique, émotionnel et mental de l’être humain, avec une vision MIND-CORPS.
Je travaille dans la ville de Lausanne et aussi à la ville de Gland, dans le canton de Vaud.
Langues de communication FRANÇAIS et ESPAGNOL.
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